Voici notre récap de l'édition 2024 du OffWeek Festival !
Day 1
Pour commencer cette édition 2024 il faut souligné une superbe organisation concernant les
entrée ce fut très fluides avec beaucoup de file.
De même pour ce rendre au festival, entre métro, tram, taxi et plusieurs parking en souterrain vous
trouverez forcement la solution qui vous convient.
Une fois le check passé on arrive dans un grand hall avec des stands de nourritures divers tel que
glaces, crêpes, sushis, pizza, burgers … des shops et enfin une petite stage pour les artistes
locaux. A noté aussi que le service au bar est rapide et qu’un système de cashless est aussi
disponible.
Néanmoins, le seul vrai bémol en therme d’organisation c’est la time table qui est affiché nul part
hormis sur un post Instagram, dommage.
Le main act de ce day one est Solomun avec un closing set de 3H.
Mais avant cela la programmation étant bien faite nous sommes monté en puissance avec
respectivement un dj set de Notre Dame lors de notre arrivé. De l’afro house vu sur mer rien de
mieux pour attaquer ce festival.
C’est néanmoins sur les coup de 20H que les festival ce remplit réellement avec la fin de set de Dj
Koze, qui d’ailleurs joué assez pointu pour le publique, de quoi temporiser pour que les derniers
retardataires puissent entrée sur le site.
Une heure plus tard c'est au tour de Carlita qui a vraiment réveillé la foule avec un bon set tech house,
jouant quelques mash-ups des l’ouverture pour attraper le publique.
On pourra noté que la stage équipé écrans transparents ne diffusé que le logo du off week fest a
savoir cette fameuse porte entre ouverte.
Seul Solomun lors de son arrivé a eu le droit a ses propres visuels. Ce fut impressionnant de voir la
foule hurler au moment ou Solomun monte sur scène pour nous délivrer un set envoutant.
Néanmoins lors de la dernière heure beaucoup de festivaliers commençait a partir afin d’évité sans
doute les embouteillages…
Ce premier jour au Off week fest fut une bonne préparation avant le main event de ce week end a
savoir Afterlife Barcelona et sa stage qui s’annonce tout simplement immense.
Apercevoir cette stage de loins et être face a elle il y a un monde d’écart. C’était absolument bluffant. Elle devait au moins faire 4 ou 5 fois celle du Day one en therme
d’ecran et en longueur au moins 3 fois. Le parc Light est tout aussi est colossal, les amateurs de
show sont prévenus. C’est donc au rythme des Rolling Bass de la Melodic Techno que Barcelone
est prête à vibrer. On notera aussi le même problème que le Day one à savoir l’absence
d’information sur la time table du jour. Néanmoins les set time étaient disponible que ce soit via
d’Instagram d’ Afterlife ou OffWeek via une story.
En ce samedi le publique est venu tôt des 17H cette gigantesque fosse commence a bien se
remplir, elle finira a 40 000 personnes lors du set Genesys II d’Anyma, Dj et co-fondateur du label.
C’est réellement sur les coup de 19H30 que ce samedi commence. Avec un B2B plus qu’attendu
entre la légende Rebuke auteur du titre « Allong came polly » et Chris Avantgarde membre
récurrent du label Afterlife et auteur du récent succès : Perception.
Pendant une heure et demie la foule c’est embrasé grâce au remix et les ID que les deux dj nous
jouaient. En revanche toujours pas de gros visuels comme quoi afterlife c’est aussi et avant tout un
éventent rythmé par la musique. De même pour les djs suivant a savoir Argy et Kevin De Vries.
Ou cette fois nous avons pu admirer la qualité de cette écran hors nomes avec les visuels de Metro
mais pas celui de Aria.
Il fait sombre avant que le deuxième étage de le main stage s’éclaire via une poursuite
22h30 c’est au tour de Mrak de jouer il est membre fondateur d’afterlife et acolyte d’Anyma a eux
deux ils forment Tales Of Us. Sont projet We don’t Follow s’éloigne de celui d’Anyma proposant
une melodic techno plus agressive plus underground avec une touche légèrement orchestral
parfois. En revanche en therme de visuel le publique est servie, le projet présenté ici nous offre
beaucoup de référence « Biblique » avec entre autre la représentation de la porte des enfers, des
sculptures humaine inspiré de cathédrales. Ou encore ce magnifique vitrail.
C’était le set attendu de ce weekend le show Genesys II presenté par le Dj italien Anyma.
Et que dire entre des visuels time code a coupé le souffle, les divers remix de son album.
Le publique est conquis et cette stage dévoile tout sont potentiel.
La foule est pleine ce frayer un chemin en est compliqué, on met pas moins de 10 mins entre le
centre de la fosse et l’accès au backstage. Pendant 1h30 nous avons plus que vibré, la foule scandé
wow tout en sortant sont téléphone a chaque visuel ou presque. De voir depuis la stage cette
marée de flash reste quand même ultra impressionnant. On notera aussi des visuel rappelant les
immeubles de la ville de Barcelone. On sait qu’afterlife apporte toujours un coté local dans ses
visuels lors de ces représentations, la ville espagnole n’en fera pas exception.
Pour le closing c’est au tour du duo Tales of Us de nous proposé un son melodic techno vraiment
underground bien loins de leur deux sets en solo respectifs. Coté visuel pareil beaucoup de loop
est moins de show on sent clairement que Tales of Us propose un univers bien moins mainstream
et beaucoup plus sombre. On notera aussi que pour leur set le duo est redescendu là ou les djs
précédents avaient joué. Cela colle plus à leur image sur ce type de projet.
A trois heures du matin le festival ferme ses portes, on soulignera l’absence de pyrotechnie que ce
soit au jour 1 ou au jour 2. Mais l’expérience n’en fut pas moins très réussit deplus le festival
s’éloigne des autres en proposant un line up avec l’absence de djs qui utilisent un micro.
Ici nous avions que la musique rien que la musique et parfois de sublime visuels.
Merci aux équipes du OffWeek et Rendez vous en 2025 !
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